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Le Fonds monétaire international a terminé sa revue de la performance de la RDC. Entre novembre et mai, le pays était sous surveillance de l’institution de Bretton Woods dans le cadre d’un programme de suivi.
L’objectif était d’améliorer la gouvernance et de préparer Kinshasa en vue de négociations pour un programme de trois ans assorti d’une assistance conséquente.
La RDC devait engager des réformes et améliorer des indicateurs pour espérer obtenir l’assistance du FMI. Or le résultat reste encore loin de la mention « globalement satisfaisante » attendue, ce qui pourrait retarder ou empêcher la signature du programme triennal.
D’abord, il a fallu du temps à Kinshasa pour ne plus avoir recours à la planche à billets. Jusqu’en avril dernier, la Banque centrale faisait des avances à l’État pour couvrir son déficit et cela avait de graves conséquences sur le taux de change et l’inflation. Depuis, et c’est un point positif que devrait relever le FMI, la BCC et le gouvernement ont signé un accord pour mettre un terme à cette pratique et s’y tiennent à ce jour. Mais c’est aussi grâce à un appui budgétaire débloqué par le FMI de plus de 360 millions de dollars, fin avril, qu’il n’y a pas eu de dérapage des dépenses publiques.
Face à l’augmentation de la masse salariale liée à la mesure de gratuité de l’enseignement primaire, la RDC s’était aussi engagée à améliorer ses recettes. Comme attendu, le gouvernement a élargi l’assiette de l’impôt sur les revenus aux primes touchées par les fonctionnaires. Mais la TVA, elle, n’a pas été rétablie, officiellement à cause de la nécessité de changer la loi de finances, ce qui n’a pas été fait au cours de la dernière session parlementaire. Il y avait aussi des demandes relatives à la transparence du secteur minier, comme la publication de contrats exigés dans le cadre du processus ITIE, ce qui n’est toujours pas fait.
rfi
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