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Après l’ouverture officielle du Fespaco samedi, c’est le Mica, le Marché international du cinéma et de la télévision africain de Ouagadougou, qui a été inauguré dimanche matin.
Un salon professionnel des acheteurs, distributeurs, producteurs venus des quatre coins de l’Afrique et aussi d’Europe pour alimenter des salles de cinéma qui renaissent et surtout des chaînes de télévision qui se multiplient sur le continent.
Installée à Ouaga 2000, la 18e édition du Mica réunit une quarantaine d’exposants, vendeurs de matériel de tournage, salles de cinéma, spécialistes de l’animation ou du trucage ou encore des offices nationaux du cinéma. Au milieu de cette foule d’acteurs de la production jusqu’à la diffusion, un vénérable acteur du 7e art africain, le réalisateur burkinabé Gaston Kabore :
« Il y a des distributeurs, aujourd’hui avec la TNT il a de plus en plus besoin de programmes et de contenus, donc il y a des maisons qui achètent pour distribuer auprès des chaînes de télévision. Et puis il y a aussi, bien sûr, des chaînes publiques qui viennent un peu regarder les films pour discuter avec les ayants droit ou les producteurs des différents films et les festivals qui viennent aussi un peu rencontrer les gens pour préparer leurs propres programmes. »
Stefano Manservisi, directeur général de la coopération et du développement à la Commission européenne, apporte son parrainage à ce marché si important pour l’émergence d’une industrie pourvoyeuse d’emplois : « La culture au Burkina, c’est une bonne partie du Produit national brut. Et avec la jeunesse qui augmente, avec un marché européen qui demande des produits de qualité, je crois qu’investir au Fespaco à présent est fondamental. »
Le Mica, un marché du cinéma qui doit répondre aux exigences de la diffusion qui chaque année rehausse ses critères. C’est pourquoi en marge du marché, un débat sur la professionnalisation et la formation des professionnels du cinéma se tiendra à Ouagadougou.
RFI
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