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Emmanuel Macron a «accepté» la démission du gouvernement Attal, qui assure «le traitement des affaires courantes»

Emmanuel Macron a «accepté» la démission du gouvernement Attal, qui assure «le traitement des affaires courantes»

Plus tôt dans la journée en Conseil des ministres, le président de la République a laissé entendre que cette situation pourrait «durer un certain temps», «quelques semaines», selon un participant.

Emmanuel Macron a «accepté» mardi la démission de Gabriel Attal et de tous les ministres, qui assurent désormais «le traitement des affaires courantes jusqu’à la nomination d’un nouveau gouvernement», a annoncé l’Élysée dans un communiqué.

«Afin que cette période s’achève le plus rapidement possible, il appartient aux forces républicaines de travailler ensemble pour bâtir un rassemblement autour de projets et d’actions au service des Françaises et des Français», a affirmé la présidence de la République.

Laurence Tubiana, candidate putative du NFP à Matignon, reçue par les Écologistes mardi soir

La haute fonctionnaire Laurence Tubiana, proposée par les socialistes pour la primature d’un gouvernement Nouveau Front populaire, rencontrera mardi soir les membres du conseil fédéral et du conseil politique des Écologistes, selon une information du Figaro. Le parti a apporté son soutien à cette candidate putative à Matignon, tout comme les communistes.

D’après une source interne, l’idée de porter Laurence Tubiana à Matignon a recueilli un assentiment «total» des Verts, qui étaient pourtant, selon plusieurs sources, divisés sur le cas Huguette Bello, présidente de la région La Réunion, plébiscitée par les communistes et les Insoumis.

Les mélenchonistes ont mis leur veto au nom de Laurence Tubiana, accusée d’être «Macron compatible». Elle «a refusé de devenir première ministre d’Emmanuel Macron il y a quelques années, prouvant sa capacité à lui tenir tête», a récusé le socialiste Olivier Faure sur France Inter mardi matin.

Les présidents de groupes du NFP appellent à une réunion avec Ensemble, Horizons et La Droite républicaine, pour bloquer l’accès du RN aux postes clés de l’Assemblée

Dans un courrier conjoint, les quatre présidents de groupes formant le NFP proposent une réunion aux présidents d’Ensemble, d’Horizons et de la Droite républicaine , «afin d’aborder ensemble les enjeux de la mise en place» d’un «barrage républicain» contre le RN à l’Assemblée nationale. Ils souhaitent bloquer l’accès des élus RN aux postes clés, notamment au poste de vice-président.

«Nous considérons que le Rassemblement national n’a pas sa place au bureau de l’une des plus hautes instances de notre République», écrivent-ils. Pour eux, les électeurs leur «ont donné un mandat extrêmement clair : celui de nous opposer fermement à l’extrême droite et à son ascension».

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Philippe Juvin (LR) ne veut pas «de candidat LFI qui serait en mesure de gagner le perchoir»

Les discussions semblent par ailleurs bien engagées entre le camp présidentiel et Les Républicains: «Nous voulons nous assurer qu’il n’y aura pas de candidat LFI qui serait en mesure de gagner le perchoir, voire de candidats de gauche qui auraient pu signer un contrat très explicite avec la FI», a confirmé mardi le député LR Philippe Juvin, interrogé sur une candidature unique au perchoir du «bloc central».

«Je pense qu’on va tomber d’accord avec Yaël Braun-Pivet pour bloquer la gauche», dit un député LR sous couvert d’anonymat.

Le RN «revendique la commission des finances», lance Sébastien Chenu

Sébastien Chenu, invité sur CNews, a réclamé «la présidence de la commission des finances » pour le Rassemblement national. Le vice-président du RN juge son parti comme «un groupe d’opposition» . «Par conséquent, nous revendiquons (…) la présidence de la commission des finances parce qu’elle revient à un groupe d’opposition», a poursuivi Sébastien Chenu.

Vice-président de l’Assemblée lors de la précédente mandature, il a également précisé avoir échangé avec la présidente sortante de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, notamment sur les «responsabilités» que le RN entend exercer dans l’Hémicycle.

Par Félix Roudaut, Amaury Coutansais-Pervinquière, Jeanne Durieux, Victor Mérat, Maxime Dubernet de Boscq, Elisabeth Pierson et Paloma Auzeau
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